En photographie, je suis attaché à l’époque des artistes du Noir et Blanc comme Henri Cartier-Bresson et Ansel Adams. J’ai également eu comme références deux ouvrages d’Harald Mante, l’un sur la couleur, paru en 1971, et l’autre sur la composition, datant de 1974.

C’est l’année où j’ai commencé à pratiquer en amateur le développement et le tirage dans mon « labo » argentique. J’ai été accompagné depuis l’enfance d’un appareil photo, du premier Kodak jusqu’au Canon FTB en passant par un Voigtländer. Plus tard je me suis tourné vers le numérique et les boîtiers reflex m’ont permis de retrouver du plaisir à la prise de vue. Il s’agit de se familiariser à cette nouvelle technique qui présente moins de matérialité apparente, d’autres contraintes mais aussi des possibilités nouvelles. Cela me permet de continuer à apprendre, découvrir et, souvent après des sorties ou des voyages, réaliser des images.

Celles-ci sont influencées par mon intérêt pour la peinture et ce que peuvent exprimer certaines scènes, certains paysages.